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Ancien Flyers,Tract, Prospectus, D'Un Illusionniste Wlliam James

Ancien Flyers,Tract, Prospectus, D'Un Illusionniste Wlliam James

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Vente Épuisé
Taxes incluses. Frais d'expédition calculés à l'étape de paiement.

Caractéristiques : 

Ancien Flyers, Tract, Prospectus D'Un Illusionniste Wlliam James

Dimension :

Hauteur :

13,8 cm

Largeur :

10,5 cm

Couleur :

Noir, Blanc

Poids :

3 gr

État :

Occasion, En Bon Etat D'Usage Général, Voir Photos

Code du personnel Barre :

1405240033

Infos Internet :

Un tract, prospectus, papillon, flyer, une feuille volante, un pamphlet au Canada francophone ou manifeste en Suisse francophone, est un texte ou une publicité sur support papier qui est distribué de la main à la main dans les espaces publics, en particulier sur les trottoirs, ou directement déposé dans les boîtes aux lettres par des personnes employées à cette tâche ou agissant par militantisme afin de faire passer des idées, de promouvoir un produit ou d'annoncer un événement artistique, culturel ou politique. Lorsque l'objet est purement commercial, on parle plutôt de prospectus2.

Le tract a pour but de communiquer un maximum d'informations pertinentes à un maximum de gens présents dans un lieu donné. Le tract peut être « artisanal », dans le cas d'une action directe par exemple, imprimé et rédigé avec les moyens du bord, ou dans le cadre d'une organisation plus importante, imprimé par un professionnel, avec une meilleure qualité, en couleurs et sur un support plus solide.

Législation
La création et la distribution d'un tract peuvent être soumises, en fonction du droit national, à diverses obligations, restrictions et mentions légales.

France
Suivant que l'éditeur est un particulier, une entreprise, une association ou un autre organisme, les mentions légales diffèrent. Par exemple, une société doit obligatoirement indiquer son numéro SIREN3. L’article 3 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse précise que les tracts devront porter l’indication du nom et du domicile de l’imprimeur4. Une rumeur très répandue laisse croire qu'il s'agit de la société qui réalise l'impression alors que le terme « imprimeur » se comprend par l'éditeur, la personne (morale ou physique) qui met en place le tract.[réf. souhaitée]

En vertu de l’article L541-10-1 du code de l’environnement5, il est obligatoire pour l'éditeur, au choix, d'acquitter une taxe ou d'insérer sur le tract une mention incitant à la collecte ou à la valorisation des déchets. Cette obligation se traduit généralement par la présence d'une mention « Ne pas jeter sur la voie publique ». En France, une écotaxe de 48 euros par tonne de papierNotes 1 doit être payée sur les prospectus publicitaires à Ecofolio, organisme chargé du recyclage des déchets6. Cette taxe ne représente cependant que 39 % des dépenses en recyclage, le reste restant à charge des collectivités. Il est estimé que chaque foyer français reçoit en moyenne 40 kg de prospectus par an, pour un coût de 110 millions d'euros selon l'ADEME6. D’après l’article 2 alinéa 2 de la loi Toubon no 94-665 du 4 août 1994 et le décret no 95-240 du 3 mars 1995, toute publicité écrite, parlée ou audiovisuelle doit être en langue française7. Cette réglementation s’applique donc aux tracts publicitaires. Cependant, l’utilisation de termes étrangers est permise si ces termes sont traduits en français de façon lisible, audible ou intelligible.

La distribution de tracts peut se faire de différentes manières (distribution dans la rue, à la sortie des bouches de métro, sur des salons, directement dans les commerces, sur les véhicules, etc.) mais doit respecter les arrêtés municipaux en vigueur et les règlements de la commune en la matière. La distribution peut impliquer une autorisation préalable de la mairie8,9.

Contrairement à une idée souvent répandue, les tracts électoraux comportant les couleurs, bleu, blanc, rouge, ne sont pas interdits. Seules les affiches et circulaires le sont10. Une jurisprudence du Conseil d'État du 10 avril 2009 indique que « cette interdiction, qui n'est prévue que pour les affiches et circulaires, ne trouve pas à s'appliquer aux tracts »11.

Histoire
Sous l'Ancien Régime, les informations circulent sous la forme de libelles, pamphlets, placards, canards et affiches. Ces documents se composent souvent de plusieurs pages, d'une dizaine à une cinquantaine12. Tout indique que la publicité par tract s'épanouit vraiment à partir des années 1670-168013. En revanche, le tract contemporain gagne en légèreté et le message est délivré sur une page ou deux, quand il ne se réduit pas à un simple slogan imprimé sur le recto d'une feuille volante. Dans un souci d'efficacité et pour créer un « buzz », le support des messages se renouvelle en permanence. Si le tee-shirt et la casquette sont désormais des supports classiques de communication, le message s'inscrit sur des supports de plus en plus originaux à l'exemple de tongs, qui, distribuées et utilisées sur la plage, impriment à chaque pas sur le sable un acronyme de parti politique ou le logotype d'une marque.

 

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