Mesure A Thé Chasaji
Mesure A Thé Chasaji
Caractéristiques :
Mesure A Thé Chasaji En Ivoire , A Décor Incrusté De Nacre Feuillage, Papillon, Animal Sculpté Sur Le Dessus
Style Shibayama
Dimension :
Hauteur :
13,5 cm
Largeur :
4,5 cm
Couleur :
Ivoire
Poids :
60 g
État :
En Bon Etat D'Usage Général, Voir Photos
Manque Des Petits Morceaux De Nacre, Et le Visage De L'Animal
Code Barre :
0205240006
Infos Internet :
Le thé est une boisson aromatique préparée par infusion des feuilles séchées du théier, un arbuste à feuilles persistantes originaire des piémonts orientaux de l'Himalaya (Assam, Yunnan, nord du Myanmar et de la Thaïlande).
Cette boisson aqueuse est obtenue à partir de feuilles séchées ayant des niveaux d'oxydation et de fermentation différents qui déterminent les caractéristiques du thé produit. Les thés obtenus sont différenciés par leur « couleur ». Ainsi, un thé non oxydé est appelé thé vert, un thé oxydé est appelé thé blanc (oxydation faible), thé Oolong ou bleu (oxydation intermédiaire) ou thé noir (oxydation complète), et un thé ayant subi une fermentation est appelé thé jaune (fermentation légère) ou thé sombre (maturation longue).
L'importante variété de thés existant au monde s'explique par le grand nombre de terroirs, de cultivars, de modes de culture ainsi que par les traitements subis après la récolte. Selon les traditions, les portions liquides sont bues chaudes, tièdes ou froides, en quantités très variables, diluées, faiblement ou fortement concentrées, et parfois additionnées de diverses matières d'origine végétale ou animale.
Le thé est consommé en Chine depuis l'Antiquité, puis s'est étendu au Japon et au monde arabe au ixe siècle et à l'Europe au xvie siècle. Le thé est au xxie siècle la boisson la plus bue au monde après l'eau. Il peut prendre des formes très diverses, procurant une vaste gamme de boissons aromatiques, gustatives ou désaltérantes, obtenues par infusion ou percolation d'eau sur diverses préparations à partir des petites feuilles et des bourgeons du théier.
Riche en gallocatéchol, en gallate d'épigallocatéchine, en théanine et en caféine, le thé est à la fois recherché pour son goût, ses vertus énergisantes et relaxantes, et pour ses effets positifs sur la santé, particulièrement dans le cas du thé vert.
Étymologie
Sur les autres projets Wikimedia :
thé, sur le Wiktionnaire (thésaurus)
Carte des noms pour le thé. Les dérivés de cha sont en rouge, ceux de tea en bleu.
Le sinogramme pour thé est 茶, qui a de nombreuses prononciations suivant les langues et dialectes. La prononciation en mandarin standard moderne est chá, prononciation similaire dans d'autres langues du nord et du sud-ouest de la Chine, comme le cantonais. En revanche, dans les langues du groupe min méridional, ou minnan, parlées dans le Fujian, le mot se prononce te. Dans presque toutes les langues du monde, le mot désignant le thé dérive de l'une ou l'autre de ces prononciationsu 1.
La prononciation chá s’étend entre autres au japonais (茶, ちゃ, cha), au bengali (châ), au thaï (cha), au tibétain (ja), ainsi qu’au portugais (chá). Ces langues sont parlées dans des régions en contact avec le Japon et le Tibet, ou avec les marchands portugais qui accostaient dans les ports de la région de Cantonu 1. De cette prononciation dérive le terme chai, très courant en Eurasie : persan (چای tchây), russe (чай, tchaï), tchèque et le slovaque (tchaï), arabe (شاي /ʃaj/, chaï), ourdou (چای tchaï), hindi (चाय chaï), turc (çay), albanais (/tʃaj/, çaj), etc. Ce terme s'est diffusé à travers l'Asie centrale, en commençant peut-être par le persan qui servait de langue véhiculaire à l'époque médiévale le long de la route de la soieu 2.
Parmi les langues dans lesquelles le mot dérive de te se trouvent celles dont les marchands se fournissaient à compter du début du xviie siècle en thé dans les ports du sud du Fujian, autour d'Amoy (Xiamen), en premier les Hollandais, puis ceux qui sont venus après eux et les autres pays qui ont connu cette boisson par eux : néerlandais (thee), français thé, anglais tea, allemand Tee, malais the, etc. Le polonais herbata et le lituanien arbata dérivent du néerlandais herba theeu 1. Certaines langues combinent deux termes provenant de ces deux origines : coréen (ta, cha), vietnamien (trà, chè)u 3.
De nombreuses plantes, fleurs et fruits sont utilisés en infusions et sont parfois improprement appelés « thé », tel le rooibos, parfois appelé « thé rouge »1. En France, afin de ne pas tromper le consommateur, l'utilisation de l'appellation « thé » pour tout produit ne contenant pas de feuilles de théier est cependant interdite par la législation2.
Enfin, la tisane est une infusion à valeur médicinale ou gustative, sans thé3.
Histoire
Article détaillé : Histoire du thé.
L'origine du thé fait l'objet de plusieurs légendes. La première raconte que le thé apparut en l'an 2737 avant notre ère, quand des feuilles se détachèrent d'un arbre pour tomber dans l'eau chaude de l'empereur Shennongu 4. Une autre légende originaire d'Inde attribue l'invention du thé à Bodhidharma, fondateur en Chine de l'école Chan : ce moine bouddhiste se serait endormi après avoir médité pendant neuf ans devant un mur. À son réveil, il se serait senti si coupable qu'il se serait coupé les paupières pour éviter de se rendormir et les aurait jetées au sol, donnant naissance au théier4.
Des chercheurs ont identifié des restes de thé dans un bol provenant d'une tombe de la ville de Zoucheng, datée d'environ 400 av. J.-C.5. On retrouve des traces de thé dans la tombe d'un empereur Han à l'ouest du Tibet vers 200 av. J.-C.[réf. nécessaire]. Des récipients à thé datant de la fin de l'Antiquité ont été découverts, et un texte de Wang Bao, écrit en 59 av. J.-C., mentionne des serviteurs allant chercher des caisses de thé6. À l'origine, on s'en sert pour parfumer l'eau que l'on fait bouillir avant de la boire. Il est d'emblée apprécié pour ses vertus thérapeutiques, comme soulageant les fatigues, fortifiant la volonté et ranimant la vue. Il devient une boisson quotidienne en Chine sous la dynastie des Han de l'Est (25 - 220) et à l'époque des Trois Royaumes (220-280)6.
Une tasse remplie d'eau ; à côté d'elle, une brique de thé.
Thé en briques.
Le thé devient une boisson à la mode sous la dynastie Tang (618-907)7. C'est aussi l'époque à laquelle il arrive au Japon, en 729s 1, et en Corée du Sud dans la période de Silla unifié (668-935)s 1. Ses feuilles sont importées par un ambassadeur à la cour Tang. À l'époque de Nara, le Japon entame une politique d'imitation délibérée et systématique de la culture chinoise, incluant le thé. Des prêtres bouddhistes diffusent les textes sacrés au Japon, et des moines japonais ramènent du thé sur l'archipel. Le moine Saicho, compagnon de voyage de Kukai, rapporte des plants de thé et en plante à Sakamotos 1. Le tout premier ouvrage au monde traitant du thé, écrit par Lu Yu entre les années 760 et 780 de notre ère, est Le Classique du Thé. Dans cet ouvrage, l'auteur traite de la plante elle-même, mais aussi des outils à employer pour la récolte, de la qualité des feuilles, des accessoires nécessaires à sa préparation, de l’histoire des plantations et de quelques buveurs de thé célèbress 1. À l’époque de la dynastie Tang, le thé se consomme sous forme de brique. Quand il est amolli par la chaleur, on le torrefie jusqu’à ce qu’il devienne tendre, puis il est pulvérisé. Lorsque l’eau commence à frémir, on y ajoute du sel : quand elle bout, on y verse le thés 1.
Sous la dynastie des Song du Nord (960-1279), on prépare le thé battu. Les feuilles sont broyées sous une meule afin d'obtenir une poudre très fine, que l'on fouette ensuite dans l'eau chaude pour obtenir une mousse substantielle. Ce thé est aussi servi dans un grand bol commun à plusieurs convives. En 1012, Tsai Hsiang compose le Ch’a lu (茶录, chá lù), l’art du thé impérial. Le thé est introduit au Japon au début du xiie siècle par le prêtre bouddhiste zen (nom japonais du Chan) Eisai, et ce mode de préparation y est encore pratiqué lors de la cérémonie du thé (chanoyu)s 1.
Sous les Ming et les Qing (1368 - 1911), les feuilles de thé sont infusées dans l'eau chaudes 1. Le thé est introduit au début du xviie siècle en Europe par les commerçants portugais et hollandais8. La Russie s'adonne au thé dès le xviie siècle. On ne peut jusqu'à la fin du siècle suivant s'en procurer qu'à Moscou ou à Nijni Novgorod. Vers le milieu du xixe siècle, le thé se répand dans tout l'empires 2.
La Tasse de thé, œuvre de Mary Cassatt (1880), peinte à une époque où le thé est un rituel social pour les femmes de la classe moyenne supérieure9.
À la fin des années 1780, l'Angleterre importe de plus en plus de thé de Cantons 3. Elle asseoit sa domination du marché du thé chinois en développant la culture du pavot au Bengale. Le pavot indien est transformé en opium, qui est envoyé en Chine en échange de thé. L'opium devient illégal en Chine à la suite d'un édit impérial en 1779, mais passe par de grands canaux de contrebande ouvertement maintenus et financés par le gouvernement britanniques 4, ce qui mènera aux guerres de l'Opium. En 1880, la production de thé de l'Inde du Nord s'élève à 21 500 tonnes, dont 17 000 tonnes de l'Assam et 3 200 tonnes du Bengale occidental. Le marché reste presque exclusivement britannique : l'Australie préfère acheter en Chine, comme les Américains. Enfin, le thé de Ceylan, où les premiers plants ont été installés dans les années 1870, commence à très bien se vendre sur plusieurs marchés et est exploité par l'entreprise Liptons 5. Au même siècle, le thé fait son apparition en Afrique, où des colons plantent des théiers d'abord au Malawi puis dans d'autres pays, dont le Kenya10.
En 1914, l'Inde est le premier fournisseur de thé de l'Europe, et de très loin, mais la consommation y est encore faibles 6. Avant la Seconde Guerre mondiale, le thé arrive dans les petites villes par le biais des marchés, des gares et des écoles. Enfin, le thé commence à être consommé en campagne seulement à la fin du vingtième siècles 6.
La production africaine de thé augmente de 10 % entre 2014 et 2016, alors que la consommation sur le continent se développe en parallèle de la production11.
Demande mondiale
Le thé est aujourd'hui la boisson la plus bue au monde juste après l'eauu 5.
En 2015, plus de deux milliards de personnes réparties dans 125 pays différents boivent du thép 1.
La demande a fortement progressé au début du xxie siècle, avec une augmentation de plus de 4 % par an en moyennei 1. Cette augmentation vient principalement des pays producteurs, tels que la Chine et l'Inde, est aussi portée par des pays où le marché explose, tels que le Rwanda (+26 %), le Malawi (+19,8 %) et l'Ouganda (+16,5 %)i 1. L'augmentation de la demande vient de l'urbanisation et de l'élévation du niveau de vie dans les pays émergents d'Asie de l'Est, Afrique, Amérique Latine et Caraïbes, tandis que l'Europe voit sa demande décliner en volumei 1.
La nature de la demande change elle aussi : en Allemagne, en France et en Belgique, les thés noirs mélangés à d'autres ingrédients, ou specialty teas, sont en pleine croissance par rapport aux thés noirs et verts simples. Le thé noir nature, en particulier, voit sa part de marché diminuer au profit du thé vert, des infusions et des thés mélangés depuis le début du siècle12.
Production
L'essentiel du thé est produit par de grandes exploitations en Inde, en Chine, au Sri Lanka, au Kenya et en Turquie, à destination des grandes entreprises de l'agroalimentaire. À l'opposé de cette production industrielle, de nombreux « jardins », plantations parfois minuscules, cultivent des thés très recherchés des amateurs.
Théier
Article détaillé : Théier.
Camellia sinensis var. assamica cultivé dans le jardin botanique d'Auckland.
Le théier est l'espèce Camellia sinensis du genre Camellia et de la famille des Théacées. Elle se décline en trois variétés botaniques : Camellia sinensis var. assamica, Camellia sinensis var. sinensis (Yunnan) et Camellia sinensis var. cambodiensis, lui même hybride naturel fixé des deux premiers. Suivant les classifications, on recense entre 300 et 600 types d'hybrides entre les deux premières variétés utilisés dans l'agriculture13. Les feuilles de var. sinensis ont une taille de 4–9(–14,4) cm de long et 1,6–(–5) cm de large. Celles de var. assamica ont 8–14(–29) cm de long par 3,5–7,5(–10) cm de large13.
Arbuste tropical originaire d'Extrême-Orient, il alterne des phases de dormance et de croissance végétative. Cultivé, il est maintenu dans ce dernier état afin de stimuler la croissance des bourgeons et des jeunes feuilles, qui sont la partie de la plante consomméep 2.
L'expression « théiers sauvages » désigne des théiers du Yunnan qui auraient été plantés par des minorités ethniques de la région il y a des centaines d'années et laissés depuis à l'abandonp 3. Poussant au milieu d'arbres d'autres espèces, leur récolte nécessite une grande dextérité, puisque les nouveaux bourgeons ne sont pas à hauteur d'humain mais nécessitent de grimper dans les arbresp 3. Ils sont commercialisés comme produits de luxe sous forme de galettes de thé vert compressép 3.
Plantations
Article détaillé : Plantation de thé.
Dans les régions où la cueillette du thé est exclusivement féminine, l'entretien des plantations, qui comprend le travail des sols et la taille des théiers, est dévolu aux hommesp 3.
Reproduction des théiers
Pépinière de théiers, plantation Ndawara, pays Fulani, Cameroun.
La première phase d'entretien des plantations de thé consiste à la reproduction des théiers. Celle-ci peut se faire par prélèvement de graines ou par bouture. La bouture a l'avantage de mieux conserver les sols, car la régularité des plantes les expose moins, tandis que les graines permettent une plus grande diversité génétique rendant les plantations globalement plus résistantes aux nuisibles.
Les graines sont prélevées au sol dès leur chute naturelle, puis plongées dans l'eau pour éliminer celles qui flottent, impropres au semis. Les graines sont ensuite mises à germer dans un lit de germination. Les graines sont ensuite mises à germer dans une pépinière ombragée, puis endurcies, c'est-à-dire régulièrement replantées à mesure de la croissance de la plante dans des espaces de plus en plus lumineux, jusqu'aux conditions locale de plein champ13,s 7.
Pour la bouture, une tige contenant un œil et une feuille de quelques centimètres est prélevée sur le théier mère avant d'être repiquée en pépinière. Les plants développent progressivement des racines avant de subir de la même façon que les semis une phase d'endurcissement puis d'être repiqués en champs 7.
Taille
Plusieurs types de taille existent, ayant chacun une fonction spécifique. Les tailles de formation servent à donner une forme spécifique au théier : une charpente basse et large composée d'un tronc central et de nombreuses ramifications, permettant de multiplier les bourgeons végétatifs et donc les points de récolte. Les tailles de production maintiennent les théiers à une hauteur de 0,8 à 1 m afin de maximiser la productivité des cueilleurs et cueilleuses, qui n'ont ainsi pas besoin de se pencher ou de monter sur une échelle pour récolter ; dans le même style, le skiff, rare car éprouvant pour la plante, vise à rétablir la régularité de la table de cueillette endommagée par la grêle, le gel ou une croissance non maîtrisée de la plante. Les tailles de régénération, enfin, servent à redonner de la vigueur à la plante : le rim-lung, pratiqué au Kenya, consiste ainsi en la taille des branches du centre de théier en laissant celles du pourtour afin de laisser la plante respirer13,s 7.
Entretien de la plantation
Les arbres protègent les théiers du vent et du soleil (Munnar, Inde).
L'entretien de la plantation consiste en l'entretien des sols par le drainage et la lutte contre l'érosion, l'irrigation, la fertilisation, la lutte contre les nuisibles (maladies, insectes), la plantation des arbres et plantes auxiliaires pour l'ombrage ou permettant directement ou indirectement la lutte contre les parasites et les adventices13.
Les grands arbres servent à protéger les théiers des pluies, du soleil et du vent, tandis que des herbes servent à préserver le sol : dans les deux cas, on les choisit de la famille des légumineuses afin qu'elles fixent l'azote dans le sol et ne le fatiguent pass 7.
Comme toute monoculture permanente, les plantations de thé sont très affectées par les parasites : chenilles, larves, vers, insectes volants, pucerons, cochenilles, criquets, moustiques, termites, fourmis et acariens. Pour lutter contre eux, des insecticides sont épandus, que ce soit par pulvérisation, soit à l'aide d'un réservoir porté par un travailleur sur le dos, soit par voie aérienne, ou par poudrage. En revanche, d'autres insectes, comme les araignées rouges du Sri Lanka et les mouches vertes de Darjeeling, modifient la chimie du chloroplaste, produisant ainsi des arômes recherchéss 7. L'emploi d'insectes auxiliaires prédateurs des ravageurs des théiers est de plus en plus répandu[Quand ?]13.
Le théier peut être touché par de nombreuses maladies, aux conséquences variables : si Botrystis ssp. ne touche que les fleurs et a donc peu d'impact, les maladies des feuilles comme la cloque ou celles des racines, difficilement détectables, ont des conséquences désastreuses sur les récoltes. Pour se prémunir des maladies des racines, il est nécessaire de bien défricher la terre pour en enlever les anciennes racines ; en revanche, une fois la maladie installée, elle est difficilement détectable et détruit sans préavis les théiers, et il n'est plus possible que de les brûler et de laisser la terre en friche pour contenir la propagations 7. La lutte biologique via l'épandage préventif de mycorhize est expérimenté avec un succès variable selon les conditions locales13.
Conditions de culture
Les théiers ont besoin d'un sol ni calcaire ni argileux, mais alluvionnaire, sédimentaire ou volcaniques 7. Le sol doit être acide, profondément meuble, perméable, riche en mull nutriments (azote, acide phosphorique et potasses 7. Pour qu'elle reste meuble, la terre est labourée deux fois avant de planter des légumineuses qui fixeront l'azote dans le sol avant l'installation de théierss 7,13.
Le théier a besoin d'une température comprise en 10 et 30 °C (la plante meurt en dessous de −50 °C), de pluies fréquentes de 1 500 à 3 000 mm/an, d'un taux d'hygrométrie compris entre 70 % et 90 % et idéalement de cinq heures d'ensoleillement par jour. Les meilleurs feuilles sont obtenues dans les climats contrastés aux journées chaudes et aux nuits fraîches
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