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Pot à Confiture Décoration Abricot
Pot à Confiture Décoration Abricot
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Caractéristiques :
Taille: D.10 cm h. 13cm
État : Bon état général d'usage
signature :
Info :
Code Personnel : 37
Histoire
Confection de confiture au xviie siècle
En 73 ap. J.-C, Pline l'Ancien dans son Histoire naturelle évoque parmi les recettes de conservation de son époque la cuisson des coings dans du miel, des raisins confits dans du moût, des olives confites dans du sel puis de la margine et du vin cuit, ainsi que des chardons confits dans du vinaigre avec du miel1. Au ive siècle, Palladius dans le traité sur l'agriculture De Re Rustica décrit des recettes de verjus de raisin confits dans du miel, et de sirop de mûres contenant du miel2.
À l'époque des croisades, le sucre est introduit en Europe par l'intermédiaire du monde arabe3 ainsi que les confitures[réf. souhaitée]. Au Moyen Âge, l'appellation « confitures » désigne toutes les confiseries réalisées à partir d'aliments cuits dans du sucre, du sirop ou du miel : bonbons, fruits confits, etc.[réf. souhaitée]. La confiture actuelle était appelée électuaire, du latin « eleucterium », signifie « médicament à lécher »[réf. souhaitée]. Originaire de la pharmacopée arabe, elle était alors utilisée comme traitement[réf. souhaitée]. Différentes recettes trouvent rapidement leur place aussi dans le boutehors, le dernier service des banquets médiévaux.[réf. souhaitée]
En 1555, Nostradamus publie un Traité des fardemens et confitures, qui comprend des conseils sur la préparation des confitures, et leur usage médicinal4.
Longtemps considérées comme un produit de luxe, les confitures se banalisent au début du xixe siècle grâce à la découverte du sucre de betterave. Aujourd'hui, elles sont considérées comme un aliment de plaisir, à l'intérêt nutritionnel assez faible : elles contiennent beaucoup de glucides et un peu de fibres. La plupart des vitamines sont éliminées durant la cuisson.
Confection de confiture au xviie siècle
En 73 ap. J.-C, Pline l'Ancien dans son Histoire naturelle évoque parmi les recettes de conservation de son époque la cuisson des coings dans du miel, des raisins confits dans du moût, des olives confites dans du sel puis de la margine et du vin cuit, ainsi que des chardons confits dans du vinaigre avec du miel1. Au ive siècle, Palladius dans le traité sur l'agriculture De Re Rustica décrit des recettes de verjus de raisin confits dans du miel, et de sirop de mûres contenant du miel2.
À l'époque des croisades, le sucre est introduit en Europe par l'intermédiaire du monde arabe3 ainsi que les confitures[réf. souhaitée]. Au Moyen Âge, l'appellation « confitures » désigne toutes les confiseries réalisées à partir d'aliments cuits dans du sucre, du sirop ou du miel : bonbons, fruits confits, etc.[réf. souhaitée]. La confiture actuelle était appelée électuaire, du latin « eleucterium », signifie « médicament à lécher »[réf. souhaitée]. Originaire de la pharmacopée arabe, elle était alors utilisée comme traitement[réf. souhaitée]. Différentes recettes trouvent rapidement leur place aussi dans le boutehors, le dernier service des banquets médiévaux.[réf. souhaitée]
En 1555, Nostradamus publie un Traité des fardemens et confitures, qui comprend des conseils sur la préparation des confitures, et leur usage médicinal4.
Longtemps considérées comme un produit de luxe, les confitures se banalisent au début du xixe siècle grâce à la découverte du sucre de betterave. Aujourd'hui, elles sont considérées comme un aliment de plaisir, à l'intérêt nutritionnel assez faible : elles contiennent beaucoup de glucides et un peu de fibres. La plupart des vitamines sont éliminées durant la cuisson.




