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Laser Disc Double Independence Day
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Format : Disque Laser
Style : Cinéma
Année : 1997
Éditeur : THX
EAN : 3344424118352
Zone de Lecture :
Langue : VF
Pour Malentendants : NA
État: Occasion Non testé
Pochette Abîmé
Independence Day : Le Jour de la riposte ou Le Jour de l'indépendance au Québec1 (parfois abrégé ID4) (Independence Day) est un film de science-fiction américain réalisé par Roland Emmerich, sorti en 1996.
Il raconte l'invasion d'extraterrestres venus piller les ressources de la Terre, devant lesquels des groupes d'individus et de familles fuient et convergent vers le désert du Nevada. Avec le reste de la population américaine, ils espèrent participer à une bataille de la dernière chance pour la survie de l'espèce humaine. Symboliquement cette bataille a lieu le 4 juillet, le jour de la fête nationale américaine.
Une suite, Independence Day: Resurgence, est sortie en 2016.
Synopsis
En 1996, un radiotélescope du programme SETI capte des ondes émises par un vaisseau extraterrestre démesuré qui s'est immobilisé en orbite géostationnaire lointaine. Le Pentagone, averti de cette présence, décide de garder le secret sur cette découverte. Peu de temps après, de gigantesques vaisseaux spatiaux entrent dans l'atmosphère puis prennent lentement position au-dessus de diverses mégapoles mondiales. À Washington, le président des États-Unis Thomas J. Whitmore (Bill Pullman) s'interroge sur la conduite à tenir.
David Levinson (Jeff Goldblum) est analyste informaticien. Il découvre qu'un signal provenant du vaisseau extraterrestre et capté par un radiotélescope joue le rôle d'un compte à rebours. Il décide d'en informer en haut lieu en prenant contact avec son ex-femme Constance Spano qui est conseillère à la Maison-Blanche. Le président décide alors l'évacuation générale, mais il est trop tard : de chacun des vaisseaux surgit un rayon surpuissant qui détruit instantanément les buildings et tous leurs environs. Le lendemain, les lieux visés ne sont plus que ruines et désolation. Le nombre de victimes est très lourd.
Steven Hiller (Will Smith) est capitaine de l'US Marine Corps (USMC). Avec les quelques survivants, le président Whitmore, qui a échappé de justesse à la destruction de la capitale à bord d'Air Force One, décide d'organiser la riposte. Une première attaque aérienne massive est lancée sur les vaisseaux, mais aussitôt le combat engagé, les pilotes humains constatent que leur armement ne peut percer le bouclier énergétique qui entoure ceux-ci. Écrasés sous le nombre des chasseurs sortis des vaisseaux envahisseurs — et équipés eux aussi de boucliers infranchissables — les avions sont abattus les uns après les autres, à l'exception de celui du capitaine Steven Hiller, qui parvient à mener son adversaire dans un dédale rocheux avant de l'aveugler avec sa toile de parachute et de le faire s'écraser.
Hiller se retrouve dans le désert du comté de Lincoln, au sud-est du Nevada, en compagnie de l'extraterrestre qu'il a assommé et qu'il traîne derrière lui. Il est rejoint un peu plus tard par un convoi de caravanes tractées par des personnes ayant échappé à l'anéantissement, et qu'il va guider vers la Zone 51.
Dans les ruines de Los Angeles, Jasmine Dubrow, compagne de Steven Hiller ayant survécu à l'anéantissement avec son fils Dylan, parvient à dégager plusieurs survivants des décombres, parmi lesquels la Première dame des États-Unis, Marilyn Whitmore, dont l'hélicoptère s'est écrasé peu de temps après le début de la destruction de la ville.
Thomas Whitmore se rend dans la Zone 51. Il y apprend alors que ce n'est pas la première fois que les Humains se trouvent confrontés à ces extraterrestres : un chasseur extraterrestre s'est en effet écrasé en 1947 aux alentours de Roswell et a été récupéré dans la plus grande discrétion par l'US Air Force.
Dans le laboratoire médical de la Zone 51, des scientifiques entament l'ouverture de la combinaison biomécanique de l'extraterrestre capturé par Steven Hiller, toujours inconscient et tenu pour mort, mais l'opération se transforme en désastre, car l'extraterrestre se réveille soudain et tue les scientifiques présents par télépathie. Après une tentative de négociation infructueuse, l'extraterrestre est abattu alors qu'il tente de tuer le président américain.
Ce dernier ayant perçu quelques bribes du passé et des intentions belliqueuses de l'espèce extraterrestre, il décide d'utiliser l'arme nucléaire pour détruire le vaisseau au-dessus de Houston, mais une fois l'explosion dissipée, l'euphorie s'évanouit aussi vite qu'elle est apparue : le vaisseau protégé par son bouclier énergétique est toujours intact.
Désemparés, les rescapés ne savent plus quelle piste explorer jusqu'à ce que David Levinson, sous le coup d'une rude gueule de bois et avec l'aide de son père Julius Levinson, ait une soudaine inspiration. L'idée, à la fois d'une simplicité folle et d'une audace sans précédent, consiste à implanter dans le système informatique du vaisseau-mère en orbite terrestre un virus informatique qui désactivera par signal satellite les boucliers de tous les vaisseaux extraterrestres.
Steven Hiller et David Levinson se portent volontaires pour piloter le chasseur extraterrestre détenu dans la Zone 51 et réparé par les scientifiques afin d'accéder au vaisseau-mère pour y implanter le virus. Sur Terre, la contre-offensive planétaire est lancée le 4 juillet, et Thomas Whitmore la mène personnellement à bord de son F-18, tandis que le virus de David Levinson désactive les boucliers de tous les vaisseaux. Cependant, la trop faible puissance des missiles air-air ne permet pas de détruire ceux-ci, d'autant plus que les chasseurs extraterrestres se lancent dans la bataille pour protéger les vaisseaux-mère.
Alors qu'un vaisseau est sur le point d'émettre son rayon destructeur sur la Zone 51, le pilote Russell Casse, qui ne peut tirer son dernier missile, bloqué, se sacrifie en lançant son F-18 dans l'émetteur du rayon. Les dégâts infligés à son arme principale entraînent une réaction en chaîne destructrice dans tout le vaisseau, qui s'écrase.
Pendant ce temps, leur chasseur extraterrestre bloqué dans le vaisseau-mère, Steven Hiller et David Levinson tentent le tout pour le tout. Après avoir tiré un missile pourvu d'une ogive nucléaire de très forte puissance qui s'est fiché dans la structure du vaisseau, ils parviennent à se délivrer du dispositif qui retenait leur chasseur et à quitter in extremis le vaisseau-mère avant que l'explosion nucléaire le désintègre.
Steven Hiller et David Levinson, qui se sont écrasés dans le désert à leur retour, sont rejoints par Thomas Whitmore et leurs épouses respectives et assistent à la chute de débris du vaisseau-mère. Pendant ce temps, l'on voit l'euphorie des autochtones de chaque régions du globe avec des vues sur des monuments ou paysages célèbres (Kilimandjaro, pyramides de Gizeh...) ainsi que des vaisseaux Aliens en flammes qui se sont écrasés à côté.
Fiche technique
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.
Titre original : Independence Day
Titre français complet : Independence Day : Le Jour de la riposte2
Titre québécois : Le Jour de l'indépendance1
Réalisation : Roland Emmerich
Scénario : Dean Devlin et Roland Emmerich
Musique : David Arnold
Orchestration : Nicholas Dodd
Montage musical : Daniel Gaber, Laurie Higgins Tobias et Douglas M. Lackey
Direction artistique : William James Teegarden
Décors : Oliver Scholl et Patrick Tatopoulos
Costumes : Joseph A. Porro
Maquillage : Michael F. Blake, Lynn Campbell, Katalin Elek, Zoltan Elek, Craig Smith
Coiffure : Aaron F. Quarles, Joy Zapata
Photographie : Karl Walter Lindenlaub
Son : Bob Beemer, Bill W. Benton, Chris Carpenter
Montage : David Brenner
Production : Dean Devlin
Production déléguée : Roland Emmerich, Ute Emmerich et William Fay
Production associée : Peter Winther
Sociétés de production : Centropolis Entertainment, présenté par Twentieth Century Fox
Sociétés de distribution : Twentieth Century Fox (États-Unis) ; UGC Fox Distribution (France)
Budget : 75 millions de $ 3,4,5
Pays de production : Drapeau des États-Unis États-Unis
Langue originale : anglais
Format : couleur (DeLuxe)
version 35 mm - 2,39:1 (CinemaScope - Panavision) - son : DTS / Dolby Digital / SDDS / DTS (DTS: X)
version 70 mm - 2,20:1 (Panavision 70) - son : DTS 70 mm
Genre : science-fiction, action, aventure, thriller
Durée : 145 minutes ; 154 minutes (version longue)
Dates de sortie2 :
États-Unis : 26 juin 1996 (première mondiale à Hollywood, Californie)6, 3 juillet 1996 (sortie nationale)
France : 2 octobre 19967
Belgique : 9 octobre 19968
Québec : 2 juillet 19961
Sorties cinéma
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États-Unis : 26 juin 1996 (première mondiale à Hollywood, Californie)6
Canada : 2 juillet 1996
Canada (Québec) : 2 juillet 19961
États-Unis : 3 juillet 1996
Jamaïque : 3 juillet 1996
Porto Rico : 3 juillet 1996
Royaume-Uni (Londres, avant-première) : 4 juillet 1996
Hong Kong : 11 juillet 1996
Malaisie : 11 juillet 1996
Trinité-et-Tobago : 11 juillet 1996
Taïwan : 13 juillet 1996
Argentine : 18 juillet 1996
Mexique : 18 juillet 1996
Singapour : 18 juillet 1996
Colombie : 26 juillet 1996
Pérou : 26 juillet 1996
Uruguay : 26 juillet 1996
Corée du Sud : 27 juillet 1996
Venezuela : 31 juillet 1996
Brésil : 1er août 1996
Chili : 1er août 1996
Panama : 2 août 1996
Malte : 7 août 1996
Irlande : 9 août 1996
Israël : 9 août 1996
Royaume-Uni : 9 août 1996
Thaïlande : 9 août 1996
Islande : 16 août 1996
Indonésie : 17 août 1996
Bolivie : 27 août 1996
Nouvelle-Zélande : 28 août 1996
Australie : 29 août 1996
Afrique du Sud : 30 août 1996
Italie : septembre 1996 (Mostra de Venise)
Autriche : 2 septembre 1996
Bulgarie : 2 septembre 1996
Espagne : 6 septembre 1996
Liban : 13 septembre 1996
Allemagne : 19 septembre 1996
Norvège : 19 septembre 1996
Suisse : 27 septembre 1996
Italie : 27 septembre 1996
Japon : 27 septembre 1996 (Festival international du film de Tokyo)
Égypte : octobre 1996
Slovaquie : 1er octobre 1996
République tchèque : 1er octobre 1996
France : 2 octobre 19967
Croatie : 3 octobre 1996
Pays-Bas : 3 octobre 1996
Suède : 3 octobre 1996
Estonie : 4 octobre 1996
Finlande : 4 octobre 1996
Lettonie : 4 octobre 1996
Lituanie : 4 octobre 1996
Pologne : 4 octobre 1996
Roumanie : 4 octobre 1996
Turquie : 4 octobre 1996
Belgique : 9 octobre 19968
Danemark : 11 octobre 1996
Portugal : 11 octobre 1996
Russie : 15 octobre 1996
Serbie : 16 octobre 1996 (Belgrade)
Yougoslavie : 18 octobre 1996
Hongrie : 24 octobre 1996
Slovénie : 24 octobre 1996
Chypre : 25 octobre 1996
Grèce : 25 octobre 1996
Philippines : 6 novembre 1996
Cameroun : 15 novembre 1996
Japon : 7 décembre 1996
France : 2 septembre 2017 (Festival du cinéma américain de Deauville)
Classification :
États-Unis : accord parental recommandé, film déconseillé aux moins de 13 ans (PG-13 - Parents Strongly Cautioned)N 1
France : tous publics9
Belgique : tous publics (Alle Leeftijden)8
Québec : 13 ans et plus (13+ / 13 years and over)1
Distribution
Jeff Goldblum (VF : Bernard Lanneau ; VQ : Luis de Cespedes) : David Levinson
Will Smith (VF : Serge FaliuN 2 ; VQ : Pierre Auger) : capitaine Steven « Steve » Hiller
Bill Pullman (VF : Robert Guilmard ; VQ : Daniel Picard) : Président Thomas J. Whitmore
Margaret Colin (VF : Dominique Westberg ; VQ : Madeleine Arsenault) : Constance « Connie » Spano
Randy Quaid (VF : Gilbert Lévy ; VQ : Marc Bellier) : pilote Russell Casse
Mary McDonnell (VF : Céline Monsarrat ; VQ : Danièle Panneton) : Première dame Marilyn Whitmore
Judd Hirsch (VF : Michel Fortin ; VQ : Jean Fontaine) : Julius Levinson, le père de David
Vivica A. Fox (VF : Annie Milon ; VQ : Linda Roy) : Jasmine Dubrow
Robert Loggia (VF : Léon Dony ; VQ : Ronald France) : général William M. Grey, Commandant du Corps des Marines
James Rebhorn (VF : Jean-Pierre Leroux ; VQ : Vincent Davy) : Albert Nimziki, Secrétaire à la Défense
Harvey Fierstein (VF : Jacques Frantz ; VQ : Normand Lévesque) : Marty Gilbert
Adam Baldwin (VF : Guillaume Orsat ; VQ : Jean-Luc Montminy) : Major Mitchell
Brent Spiner (VF : Michel Papineschi ; VQ : Jean-Marie Moncelet) : Dr Brackish Okun
James Duval (VF : Emmanuel Garijo) : Miguel Casse
Lisa Jakub (VQ : Caroline Dhavernas) : Alicia Casse
Giuseppe Andrews : Troy Casse
Ross Bagley (VQ : Lawrence Arcouette) : Dylan Dubrow
Bill Smitrovich : lieutenant-colonel Watson
Mae Whitman (VF : Kelly Marot) : Patricia Whitmore
Harry Connick Jr. (VF : Olivier Cuvellier ; VQ : Bernard Fortin) : capitaine Jimmy Widler
Kiersten Warren (VF : Natacha Muller) : Tiffany
John Storey : Dr Issacs
Frank Novak (en) : Teddy
Devon Gummersall : Philip
Mirron E. Willis : Dean, assistant présidentiel
Ross Lacy (VF : Mathias Kozlowski) : Roy, assistant présidentiel
David Pressman (VF : Maurice Decoster) : Alex, assistant présidentiel personnel de Whitmore
Robert Pine (VF : Joseph Falcucci) : Glenn Parness, chef de cabinet de la Maison-Blanche
Barbara Beck (VF : Catherine Privat) : Monica Soloway, journaliste TV à bord de l'hélicoptère
John Bradley (VF : Gabriel Le Doze) : Lucas
Jon Matthews (VF : Georges Caudron) : Thomson, soldat en Irak
Jim Piddock (VF : Gabriel Le Doze) : Reginald, chef soldat en Irak
Raphael Sbarge (VF : Maurice Decoster) : technicien en chef
Dan Lauria (VF : Achille Orsoni) : commandant
Leland Orser : assistant médical #1
Carlos Lacámara (en) (VF : Vincent Ropion) : opérateur radar
Jay Acovone (VF : Philippe Vincent) : sergent de garde à l'entrée de la Zone 51
Derek Webster (VF : Jean-François Vlérick) : pilote de l'hélicoptère « Comité d'accueil »
Jeff Phillips (VF : Philippe Vincent) : pilote du bombardier Northrop B-2 Spirit
Andrew Keegan (VQ : Martin Watier) : garçon plus âgé
Morton Kondracke (VF : Jérôme Keen) : lui-même
Sources et légende : version française (VF) sur Allodoublage10 et Voxofilm11 ; version québécoise (VQ) sur Doublage.qc.ca12
Production
Développement
Roland Emmerich et Dean Devlin ont l'idée du film lors de la promotion de Stargate, la porte des étoiles, imaginant l'impact qu'aurait l'arrivée de gigantesques vaisseaux extra-terrestres à travers le monde. Ils écrivent le scénario en 30 jours et le soumettent aux studios, dont Fox qui achète le projet et accepte de le financer pour un budget de 69,5 millions de dollars13. Emmerich et Devlin comptent finir le film avant Mars Attacks! de Tim Burton, qui parodie le genre et devait sortir en août 1996 aux États-Unis. Le titre du film, Independence Day, est donc choisi pour fixer une sortie le 4 juillet, date de la fête nationale américaine14.
Choix des interprètes
Kevin Spacey est envisagé pour le rôle du président Whitmore, qui revient finalement à Bill Pullman. Le personnage est modifié en conséquence, pour le rendre bien intentionné dès le début du film. Le studio est très réticent que Will Smith joue le pilote, car l'acteur n'est pas assez connu à l'international. Pour imposer son choix, Emmerich menace d'amener le projet à Universal15.
Tournage
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Le film a été tourné :
Aux États-Unis :
À Bonneville Salt Flats, Skull Valley, Lake Point (en) et Tooele dans l'Utah
À Quartzsite et dans le désert des Mojaves en Arizona
À White Sands et au Karl G. Jansky Very Large Array dans le Nouveau-Mexique
À Pittsburgh et Philadelphie en Pennsylvanie
À Blue Ridge en Géorgie
À Rachel au Nevada
À Grants Pass dans l'Oregon
À Washington (district de Columbia)
À West New York dans le New Jersey
À Los Angeles, Santa Clarita, Fontana et Windsor en Californie
À Colorado Springs dans le Colorado
À Michigan City dans l'Indiana
À Dallas au Texas
À New York
À Stockholm en Suède
À Reykjavik en Islande
Devant les pyramides de Gizeh en Égypte
Devant le Kilimandjaro en Tanzanie
À Sydney en Australie
Roland Emmerich encourage les acteurs à improviser des répliques non prévues par le scénario. C'est notamment le cas de la scène où Will Smith traverse le désert de sel. Pour donner de la spontanéité au discours du président, Bill Pullman s'inspire de celui de Robert Kennedy à la suite de l'assassinat de Martin Luther King13.
Post-production
La fin d'origine montrait Russell Casse détruire le vaisseau ennemi à bord de son biplan, le pilote ayant été rejeté par les militaires avant la bataille. À la suite de la réaction hilare du public lors d'une projection-test, la fin fut modifiée peu avant la sortie du film pour que le personnage combatte dans un F-1816.
Musique
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It's the End of the World as We Know It (And I Feel Fine) (en) par R.E.M. de 1987 (dans la station d'observation du programme SETI, l'employé de garde s'entraîne au golf sur son tapis de putting).
Oh Vicky par Bill Elliott (en) (David Levinson et son père Julius jouent une partie d'échecs).
About You par Greta.
Rumble par Link Wray de 1958 (au comptoir du diner, Russell, ivre, subit les railleries de autres clients, il se lève pour sortir, la terre tremble, tous sont pétrifiés par ce qu'ils voient).
Boom Boom Booty par U.P.F.
Stand By par Sophie Zelmani de 1995.
Live It Cool par Lydia Rhodes de 1991.
Bande originale
La musique originale est composée par David Arnold, qui avait déjà collaboré avec Roland Emmerich sur Stargate, la porte des étoiles. Arnold fait appel à son fidèle orchestrateur Nicholas Dodd pour diriger l'orchestre de 90 musiciens accompagné d'un chœur de 46 personnes17. L'album d'origine comprend 14 pistes pour 50 minutes de musique :
1969 - We Came In Peace, durée : 2 min 4 s.
S.E.T.I. - Radio Signal, durée : 1 min 52 s.
The Darkest Day, durée : 4 min 12 s.
Canceled Leave, durée : 1 min 46 s.
Evacuation, durée : 5 min 48 s.
Fire Storm, durée : 1 min 23 s.
Aftermath, durée : 3 min 36 s.
Base Attack, durée : 6 min 11 s.
El Toro Destroyed, durée : 1 min 32 s.
International Code, durée : 1 min 32 s.
The President's Speech, durée : 3 min 11 s.
The Day We Fight Back, durée : 4 min 58 s.
Jolly Roger, durée : 3 min 17 s.
End Titles, durée : 9 min 9 s.
Accueil
Accueil critique
Independence Day
Score cumulé
Site Note
Metacritic 59/10018
Rotten Tomatoes 65 %19
AlloCiné 2.4 étoiles sur 520
Compilation des critiques
Périodique Note
Sur l'agrégateur américain Rotten Tomatoes, le film récolte 65 % d'opinions favorables pour 71 critiques19. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de 59⁄100 pour 19 critiques18.
En France, le site Allociné propose une note moyenne de 2,4⁄5 à partir de l'interprétation de critiques provenant 5 titres de presse20.
Le film a reçu une très mauvaise critique de la part des journaux français. Ainsi, Vincent Remy, dans sa critique de Télérama21, voit dans le film « une monumentale connerie, recyclage ranci d'Alien, Rencontres du troisième type, et autre Croisière du Poséidon. » Jean-Luc Wachthausen dans Le Figaro22, résumait le film en « deux heures vingt minutes de trucages, d’images de synthèse, de combats gigantesques qui renvoient La Guerre des étoiles ou Top Gun au rang de charmants gadgets » et Yann Tobin dans Positif23 jugeait que « La niaiserie du scénario n’a d’égale que sa valeur symbolique et sociologique, dans sa culture du politiquement correct. »
Box-office
Le film a rapporté 817 400 891 $, une performance qui l'inscrit parmi les plus gros succès du box-office mondial.
Pays ou région Box-office Date d'arrêt du box-office Nombre de semaines
Drapeau des États-Unis États-Unis 306 169 268 $24 12 janvier 1997 27
Drapeau de la France France 5 656 991 entrées25 12 novembre 1996 6
Monde Total mondial 817 400 891 $24 n/a n/a
Ressortie
Le film ressort en 2010 dans une version longue « édition spéciale » contenant 8 minutes de scènes supplémentaires26.
Distinctions
1997
Oscars du cinéma : Meilleurs effets visuels, Meilleur son
Saturn Awards (nommé)
Amanda Awards, Norvège
Awards of the Japanese Academy (nommé)
BAFTA Film Award (nommé)
Blockbuster Entertainment Awards (Will Smith)
Czech Lions, Box Office Award
Grammy Awards, Meilleure composition instrumentale (David Arnold)
MTV Movie Awards, meilleur baiser (Will Smith et Vivica A. Fox)
Mainichi Film Concours
People's Choice Awards
Razzie Awards (nommé)
Satellite Awards
Sci-Fi Universe Magazine, Universe Reader's Choice Award
Young Artist Awards, Ross Bagley
Analyse
Références à d'autres œuvres
Dans le commentaire audio du film, Roland Emmerich et Dean Devlin revendiquent l'influence de Star Wars, notamment pour la scène d'ouverture avec le vaisseau mère qui s'avance en contre-plongée vers la Terre.
Dans le van de Russell Case, Troy le plus jeune fils, regarde une scène du film Le Jour où la Terre s'arrêta (1951), à la télévision, dont la réception est perturbée par les signaux de communication des extraterrestres.
L'idée de grands vaisseaux extra-terrestres survolant les capitales du monde, ainsi que la scène où une adolescente se voit proposer de perdre sa virginité avant la fin du monde, sont clairement inspirés par la mini-série V diffusée au début des années 80.
L'image d'un ovni caché par un grand nuage évoque Rencontres du troisième type de Steven Spielberg.
Lorsque le capitaine « Steve » Hiller arrive à la base de la Zone 51 avec un extraterrestre encore en vie, l'un des intervenants dit « Guess who's coming to dinner », c'est une référence au film Devine qui vient dîner ? de 1967 de Stanley Kramer avec Sidney Poitier.
Lorsque David et « Steve » s'installent dans le vaisseau afin d'aller implanter le virus dans le vaisseau mère, David installe son ordinateur portable et au moment de se lancer une image d'accueil apparaît laissant entendre une voix disant « Bonjour, David. » Cette voix et l'image d'accueil sont des références au film 2001, l'Odyssée de l'espace de 1968 de Stanley Kubrick et son personnage d'ordinateur HAL 9000. L'image d'accueil est l'œil rouge de HAL 9000.
Quand David et Steven s'échappent du vaisseau mère dans une course contre la montre, le premier s'exclame dans la version originale « Must go faster! » : une référence directe à une réplique de Ian Malcolm, également interprété par Jeff Goldblum, lors de la poursuite du T-Rex dans Jurassic Park.
Autour du film
Sorties vidéo
Icône signalant une information Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.
France : 4 juillet 2000 (DVD)7
Émirats arabes unis : 5 mars 2008 (Blu-ray)
France : 12 mars 2008 (Blu-ray)7
Inde : 18 décembre 2013 (Internet)
France : 1er août 2014 (VOD)7
Égypte : 10 janvier 2018 (DVD)
Adaptation en jeu vidéo
Independence Day est le jeu vidéo adapté du film. Développé par Radical Entertainment, il est sorti en 1997 sur Windows, Saturn et PlayStation.
Suite
En 2009, Roland Emmerich a annoncé non pas une mais deux suites au film. Ils se dérouleront à notre époque mais dans un monde qui a grandement évolué grâce aux technologies extraterrestres récupérées sur les épaves27,28. En février 2011, cependant, il signale que l'écriture du scénario n'a pas avancé : « Je refuse d'écrire quoi que ce soit avant qu'il y ait du neuf. » a-t-il déclaré29. Independence Day: Resurgence sort en 2016.
Références dans d'autres œuvres
Cette section « Anecdotes », « Autres détails », « Le saviez-vous ? », « Autour de... », « Divers », ou autres, est peut-être inopportune.
En effet, en tant qu'encyclopédie, Wikipédia vise à présenter une synthèse des connaissances sur un sujet, et non un empilage d'anecdotes, de citations ou d'informations éparses (juin 2012).
La fin de l'épisode Chinpokomon de la série South Park est une reprise du film, avec notamment la communication en morse.
Le niveau Katina du jeu vidéo Star Fox 64 est une référence aux événements du film.
Dans la cinématique de fin de Metal Slug 2 et Metal Slug X, un pilote en avion de l'Armée Rebelle se sacrifie en fonçant dans la source du rayon du vaisseau mère alors que celui-ci était en train de le charger, tout comme le personnage de Russel Casse dans ce film.
Dans le film Stonehenge Apocalypse, il est fait allusion implicitement au film lors de la séquence montrant la découverte du compte à rebours (c'est un schéma similaire qui est découvert).



