Moto Course Yamaha YZR500 Shinya Nakano 2001
Moto Course Yamaha YZR500 Shinya Nakano 2001
Caractéristiques :
Yamaha YZR500
Dimension :
Échelle : 1:24
Contenu :
Non applicable
Poids : g
État :
Code Barre :
0705240019
Infos Internet :
Yamaha Motor Co., Ltd. (ヤマハ発動機株式会社, Yamaha Hatsudōki Kabushiki-gaisha?) est un fabricant de motos, de scooters, de motoneiges et de moteurs marins. Né le 1er juillet 1955, il est séparé de Yamaha Corporation fondée en 1897 qui s’est imposée comme fabricant d’orgues et de pianos. Elle est connue sous le nom de « La maison des trois diapasons ».
Yamaha est le deuxième plus grand fabricant de motos au monde, après Honda.
Histoire
Article détaillé : Histoire de Yamaha.
Véhicules motorisés
Motos
125 YA-1, première moto Yamaha.
350 RD.
L'histoire de Yamaha Motor commence par la 125 YA-1 de 1955, largement inspirée, comme d'autres avant elle (BSA, Harley-Davidson, etc.), de la DKW RT 125 allemande de 19393,4. Contrairement à Honda, Yamaha est, au début, un spécialiste du moteur 2-temps comme deux autres japonais (Suzuki et Kawasaki). Ses machines de série ont tout de suite été réputées pour leur vivacité et leur fiabilité.
Yamaha arrive sur le marché européen à la fin des années 1960, avec une gamme de petites et moyennes cylindrées 2-temps, cylindres en fonte, dont :
50 et 80 cm3 ;
125 YA5 puis YA6 monocylindre ;
125 YAS1 bicylindre ;
180 YCS1 bicylindre ;
250 YD2 ET YD3 puis YDS1 bicylindre ;
350 YR1 bicylindre.
Ces machines sont originales, avec très tôt une lubrification par injection d'huile (système autolube) et non par mélange.
Dès 1970, ces machines évoluent par l'adoption de cylindres en aluminium :
125 AS3 (1971), AS3 Europa (1972, réservoir plus large), puis RD (admission par clapets), enfin RDX (frein à disque) ;
la 350 RD après adjonction d'une admission par clapets, deviendra rapidement la 400 RD à la suite d'une augmentation de la cylindrée ; bizarrement, la nouvelle boîte à six rapports de cette dernière restera en France limitée à cinq vitesses ;
250 et 350 RD, puis 350 RDLC (1980), introduisant le refroidissement liquide, et la suspension cantilever, inspirée des Vincent HRD, puis le système YPVS (Yamaha Power Valve Système) des valves à l'échappement.
Durant les années 1980, la 125 RD bicylindre à refroidissement par air sera remplacée par la 125 RDLC monocylindre six-vitesses dotée d'un carénage tête de fourche et d'un refroidissement liquide et d'une suspension cantilever. Celle-ci est remplacée fin 1987 par les 125 TZR et 250 TZR bicylindre, entièrement carénées. Du moteur de la dernière est issu celui de la 250 TDR.
DT 125 MX, DT 125 type 10 V (première 125 à rallier Dakar classée lors du Paris-Dakar 1984) et DT125LC (frein à disque).
RD 200, modèle peu répandu avec démarrage électrique.
TDR 250 (1988) Supermotard, motorisée par un bicylindre à refroidissement liquide (44 ch à 10 000 tr/min, 153 kg avec les pleins).
Yamaha travaille beaucoup sur la technique du 2-temps, avec l'admission par clapets et les valves d'échappement YPVS étudiées afin d'ajuster l'accord admission/échappement.
Yamaha s'essaye avec succès au 4-temps. La 650 XS sort en 1969 et poursuit sa carrière jusqu'en 1982. Pour contrer le succès de la Honda CB 750 Four, Yamaha sort en 1972 la 750 TX, un échec à cause d'une mécanique fragile. Les années 1970 voient aussi l'arrivée de Yamaha en tout-terrain (modèles trail) : DT 360 en 1973, DT 125, qui évolue en DTMX (suspension cantilever).
En 1975, Yamaha relance la mode du gros monocylindre avec la Yamaha XT 500 trail et ses dérivés (XT 550, XT 600, XT 660 R et X, Ténéré, SR 500).
En 1977, Yamaha sort la XS 500, bicylindre 4-temps à deux arbres à cames en tête et huit soupapes, et la XS 750, tricylindre 4-temps à transmission par arbre et cardan, qui évolue en 850 cm3.
En 1978 sort la 1100 XS reconnaissable par son phare rectangulaire. Sa cylindrée audacieuse en fait la plus grosse cylindrée japonaise de l'époque.
GTS 1000 et son monobras avant.
En 1983, Yamaha sort la 900 XJ qui évolue, en 1984, avec un carénage tête de fourche fixé au cadre, des simplifications techniques et une augmentation de la cylindrée au bénéfice de la souplesse et du couple. Existent également la 650 XJ, la 750 XJ Séca sans carénage, mais transmission secondaire par cardan également, la 400 et 600 (transmission secondaire par chaîne). Ils continuent à produire la 900 XJ jusqu'en 1994 et la remplacent ensuite par la 900 Diversion.
Yamaha continue à innover :
Moteur bicylindre en V à refroidissement liquide avec la XZ 550.
Moteur turbo sur la XJ 650 (sans plus de succès que ses concurrents).
Moteur à cinq soupapes par cylindre sur la FZ 750 en 1985.
L'ABS sur la FJ1200 en 1990.
La GTS 1000 et son système de suspension monobras avant, son étrier de frein avant six pistons, l'injection et un pot catalytique.
Le premier scooter GT sportif en 2001 : le TMAX.
Embrayage semi-automatique géré électroniquement proposé sur la FJR1300 en 2007.
La XV 950 « Bolt » en 20135.
Niken (en), moto à trois roues apparue en 2018, capable d'une prise d'angle de 45°