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Salopette Bleu De Travail, Mont Saint Michel / St Michel Moleskine

Salopette Bleu De Travail, Mont Saint Michel / St Michel Moleskine

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Vente Épuisé
Taxes incluses. Frais d'expédition calculés à l'étape de paiement.

Caractéristiques : 

Salopette Bleu De Travail, Mont Saint Michel / St Michel Moleskine

Couleur :

Bleu clair et foncé

Dimension :

Longueur :

113 cm

Taille :

45 cm

Poids :

1 Kg

État :

Occasion En L'Etat, Voir Photos

Peut Présenter Des Traces De Salissures, Peintures, Huiles, Rouille, Manque, Trous, Craquelures, Déchirures, Reprise .... 

Code Barre Personnel :

1304240002

Info Internet :

Le mont Saint-Michel est un îlot rocheux granitique d’environ 960 mètres de circonférence situé à l’est de l’embouchure du fleuve du Couesnon, dans le département de la Manche en Normandie. Son nom se réfère à l'archange saint Michel qui aurait exigé la construction d'un sanctuaire, selon un récit légendaire. Avant l'année 709, il était connu comme le « mont Tombe ». Pendant tout le Moyen Âge, il est appelé « mont Saint-Michel au péril de la mer ». Sur le mont est située l'abbaye du Mont-Saint-Michel. L'îlot constitue une petite partie du territoire de la commune du Mont-Saint-Michel.

Le mont baigne dans la baie du Mont-Saint-Michel, ouverte sur la Manche et s’élève dans une grande plaine sablonneuse. L’îlot atteint 92 mètres d’altitude et offre une superficie émergée d’environ 7 ha, la partie essentielle du rocher étant couverte par l’emprise au sol de l’abbaye du Mont-Saint-Michel et de son domaine.

Les monuments du Mont et sa baie sont le site touristique le plus fréquenté de Normandie. Le mont est le troisième site touristique culturel le plus fréquenté de France après la tour Eiffel et le château de Versailles, avec près de 2,3 millions de visiteurs par an.

L'abbaye et ses dépendances sont classées au titre des monuments historiques de France. L'îlot et le cordon littoral de la baie figurent sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1979. Depuis 1998, le mont est inscrit une seconde fois au patrimoine mondial, en tant que composante des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.

L'abbaye est habitée par des religieux des Fraternités monastiques de Jérusalem. Le sanctuaire est desservi par des prêtres de la Communauté Saint-Martin. L'économie au mont est essentiellement touristique et est gérée principalement par trois familles.

Toponymie
À l'origine, il était connu sous l'appellation de in monte qui dicitur Tumba vers 850 (mont Tombe) : le mot tumba, « tombe », rare en toponymie, est à interpréter dans le sens de « tertre », « élévation »1. Le nom de la localité est attesté sous les formes Montem Sancti Michaelis dictum en 966, loco Sancti Archangelis Michaelis sito in monte qui dicitur Tumba en 1025 et, en 1026, Saint Michiel del Mont au xiie siècle2, au Moyen Âge, il est couramment appelé « mont Saint-Michel au péril de la mer » (en latin : Mons Sancti Michaeli in periculo mari)3.

Son nom aurait pour origine un petit oratoire en forme de grotte construit en 708 (ou 710) par saint Aubert, évêque d'Avranchesa et dédié à l'archange saint Michel. Les restes de cet oratoire ont été retrouvés et sont encore visibles dans la chapelle Notre-Dame-sous-Terre, c’est-à-dire sous la terrasse qui prolonge la nef de l’abbatialeb.

Géographie
Le mont Saint-Michel (l’îlot ou l’abbaye) est situé dans la baie du Mont-Saint-Michel, dont le cordon littoral figure au patrimoine mondial de l’Unesco (inscription de 1979).

La baie qui fait partie du Massif armoricain repose sur un socle précambrien de grès et de schistes argileux qui se métamorphisent autour des éperons granitiques cadomiens de Cancale, Avranches, Chausey et Carolles. Toujours pendant le cycle cadomien, les granites intrusifs cambriens ont donné le mont-Dol, l'îlot Tombelaine et le mont Saint-Michel qui est constitué d'un pluton de leucogranite à biotite et muscovite datant de 525 millions d'années : l'îlot Saint-Michel fait une circonférence d'environ 960 mètres et une hauteur de 92 mètres4. Ces granites intrusifs cambriens constituent un inselberg5 car ils s'érodent moins vite que leur environnement grâce à une plus grande dureté de leur roche, et ressortent ainsi dans le paysage.

Vue aérienne du mont Saint-Michel : le rocher (sans les bâtiments) présente une base grossièrement elliptique de 950 m de circonférence pour une superficie de 28 ha, et mesure 91 m de haut[6].
Vue aérienne du mont Saint-Michel : le rocher (sans les bâtiments) présente une base grossièrement elliptique de 950 m de circonférence pour une superficie de 28 ha, et mesure 91 m de haut6.


Aux grandes marées le mont redevient île
Les marées dans la baie du mont Saint-Michel ont une amplitude de près de treize mètres les jours de fort coefficient, la mer se retire à grande vitesse sur une dizaine de kilomètres, mais revient aussi vite. L’expression consacrée est « qu’elle revient à la vitesse d’un cheval au galop ». Le mont Saint-Michel n’est entouré d'eau et ne redevient une île qu’aux grandes marées d'équinoxe, cinquante-trois jours par an, pendant quelques heures. Mais c’est un spectacle impressionnant qui attire de nombreux touristes ces jours là.

L'ancienne digue

L’ancien train du Mont-Saint-Michel à son terminus, sous les remparts.
La construction de la digue-route insubmersible qui relie le mont au continent, de 1878 à 1879, est une nouvelle étape de la poldérisation de la baie qui ne prend fin qu'en 1936. Longue de 1,8 km, cette chaussée-digue accélère le colmatage de la baie par des sédiments que ne peuvent plus enlever ni les fleuves ni les marées7.

Ce processus de colmatage qui menace l'insularité du mont justifie le projet de rétablissement de son caractère maritime lancé dans les années 1995.

Le projet de rétablissement du caractère maritime de l’île

Construction d'un nouveau barrage sur le Couesnon.
Article détaillé : Projet Saint-Michel.
Le 24 juin 1983, François Mitterrand inaugure les travaux de démolition de la digue (submersible) de la roche Torin et du rétablissement du caractère maritime. Le projet, appelé jusque dans les années 1990 « désensablement du Mont », est rebaptisé « rétablissement du caractère maritime du mont Saint-Michel » car il s'agit d'un processus naturel, la marée montante (vitesse du courant de flot : 1 m/s par coefficient de marée moyen, soit 3,6 km/h) ayant un flux plus élevé que celui de la marée descendante (vitesse du courant de jusant : 0,75 m/s, soit 2,7 km/h)8.

En 1995, les études sont déclarées honnêtes ; la puissance des ordinateurs a augmenté ainsi que les codes de calcul : on peut monter la commission[précision nécessaire] du Mont-Saint-Michel, qui doit préserver son insularité et faire arriver des touristes payants régulés.

Il s'en déduit les éléments suivants du projet9 :

suppression du parking : un autre parking est construit au sud du barrage de la Caserne sur le Couesnon (barrage qui est reconstruit) à 2,5 km du mont (planté de 45 000 arbres et arbustes, ce parking situé dans la zone commerciale La Caserne propose plus de 4 000 places de stationnement). Des navettes spéciales (à moteur et à cheval type maringotte) amènent les visiteurs par une nouvelle digue sur les herbus (levée de terre empierrée longue de 1 085 m et haute de 9,50 m). Cette digue est prolongée par un pont-passerelle (long de 760 m). Cette « jetée » sur pilotis en acier enfoncés dans des pieux de béton de 30 m de profondeur jusqu'à la roche est scindée en trois branches : deux cheminements piétonniers recouverts d’un platelage de chêne et une chaussée centrale en béton armé réservée à la circulation de navettes) et un terre-plein d'ancrage (permettant l'accès aux secours) au pied des remparts surmonté d’un gué en béton submersible lors des grandes marées (120 m), permettant au mont de conserver son insularité 20 jours par an lors des grandes marées ; dans le futur, une gare SNCF sera construite sur le continent, avec des trains directs depuis Paris-Vaugirard (Montparnasse-3)[réf. à confirmer] ;
côté île : le Couesnon doit être chenalisé de part et d’autre du mont Saint-Michel, 2⁄3 à l’Ouest et 1⁄3 à l’Est, le barrage servant de barrage de chasse de 700 000 m3. Des échelles à poissons sont prévues, pour les anguilles (catadromes) comme les saumons (anadromes). La construction du barrage sur le Couesnon est officiellement lancée le 16 juin 2006.
Le projet de liaison ferroviaire est actualisé, mais de nombreuses incertitudes demeurent. Dans un rapport10, le Conseil général des ponts et chaussées détaille les options possibles, en omettant la liaison ferroviaire établie entre 1901 et 1938.

À partir de 2006, l'État, seul concepteur du projet, se désengage de sa réalisation opérationnelle. Les travaux sont alors confiés exclusivement aux collectivités territoriales locales, déjà regroupées depuis 1997 dans un syndicat mixte, le syndicat mixte « Baie du Mont-Saint-Michel »11.

En août 2008, les quatre premières vannes sont opérationnelles dans la partie ouest du nouveau barrage du Couesnon, fonctionnant en portes à flots en attendant la livraison des quatre autres en cours de montage. L'ancien barrage est détruit en novembre 200812.
Le nouveau barrage-passerelle est mis en service en mai 200913 et ouvert au public en juin 201014. La retenue d'eau constituée à marée montante est lâchée à marée descendante, générant un effet « chasse d'eau » qui doit permettre le désensablement de la baie du Mont-Saint-Michel15.

Le projet de rétablissement du caractère maritime de 200 millions d'euros, notamment le stationnement et le transport des visiteurs attribué à l’automne 2009 à la délégation de service public Veolia Transdev, suscite de vives polémiques, tant au niveau de son suivi financier que de ses choix techniques et économiques (prix du parking, suppression de la navette gratuite « Montoise » qui transporte les habitants du Mont et les 600 employés saisonniers), comme le révèle un rapport de la chambre régionale des comptes de Normandie16,11.

Depuis le 22 juillet 2014, les visiteurs peuvent se rendre au mont par les nouveaux ouvrages d'accès créés par l'architecte Dietmar Feichtinger. Une nouvelle digue et une passerelle sur pilotis laissant passer l'eau en dessous desservent désormais l'île. L'ancienne digue a maintenant été totalement démolie17.

Caractéristiques
Une statue de saint Michel placée au sommet de l’église abbatiale culmine à 150 mètres au-dessus du rivage.

Éléments majeurs, l'abbaye et ses dépendances sont classées au titre des monuments historiques par la liste de 186218, suivies ultérieurement par soixante autres constructions19 ; le mont (îlot rocheux) et le cordon littoral de la baie figurant depuis 197920 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO ainsi que le moulin de Moidrey depuis 200720. Depuis 1998, le mont Saint-Michel bénéficie en outre d'une seconde inscription sur la liste du patrimoine mondial en tant que composante du bien en série Chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France21.

Histoire

Le mont Saint-Michel sur une carte de 1758, due à Gilles Robert de Vaugondy.
Article détaillé : abbaye du Mont-Saint-Michel.
Le temps de la Guerre de Cent ans
Article connexe : Siège du Mont-Saint-Michel.

Dans cette liste figurent les noms de barons normands tels les seigneurs de Paisnel, de Criquebeuf, de Pigache, de Guimenée, de Thorigny, de la Haye-du-Puits, de Beauvoir, de Carrouges, du Homme, de Drainville, de Brézé, de Clinchamps, de Briqueville, d'Orgeval, de Creully, de la Motte-Vigor.
Le mont Saint-Michel est le seul lieu en Normandie qui ne tomba jamais aux mains des Anglais pendant la guerre de Cent Ans. Il fut assiégé à plusieurs reprises durant la dernière phase du conflit, notamment en 1424 et 1425 puis en 1434 tout en subissant un blocus continu de la part des Anglais de 1417 à 1434 au moins. Une plaque commémorative disposée dans le transept de l'abbatiale liste les 119 gentilshommes ayant pris part à la défense du mont en 1434 sous les ordres de leur capitaine Louis d'Estouteville. La liste fut dressée par l'abbé Dom Huysnes au xviie siècle.

Le temps des pèlerinages
Article connexe : pèlerinage du mont Saint-Michel.
Un village, implanté sur le mont dès 709, voit vers le milieu du siècle suivant sa population s'accroître à la suite semble-t-il des raids vikings qui incitent les populations habitant des établissements ruraux et des villages voisins au mont, à s'y réfugier. Il se développe tout au long du Moyen Âge à l’ombre de son abbaye22. Au nord de l’église paroissiale Saint-Pierre, le bâtiment double appelé La Merveille est un chef-d’œuvre de l’architecture gothique. Il est construit sur trois niveaux à flanc de rocher.

L’économie du mont a donc été tributaire, pendant douze siècles, des nombreux pèlerinage du mont Saint-Michel, notamment jusqu’à la Révolution française, la population locale s'installant pour proposer gîte et couvert aux miquelots. Le pèlerin, appelé michelet23, venait de toute l’Europe : depuis l’Angleterre, la France du nord et de l’ouest, etc. Un réseau de routes montoises a été récemment étudié et remis en valeur, notamment à cause de l’attrait touristique important que représente le site et sa baie. À la suite de la tempête de fin décembre 1999, les vestiges d'un ancien atelier de plombs de pèlerinage sont mis au jour24.

Les habitants du mont vivent aussi du xve au xixe siècle grâce à la prison en hébergeant ses gardiens et en accueillant ses visiteurs. La dernière prison ferme en 1863. La construction d'une digue-route en 1879 puis d'une voie ferrée reliant Pontorson permet l'essor du tourisme de masse qui vit notamment grâce à la vente d'articles de souvenir de pèlerinage22.

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